Front russe de l'ouest. [Ouver]

Vernner était en route pour la ligne de défense russe du front de l’ouest. Il était la pour supervisé personnellement le bon déroulement des opérations de se secteur. Les force de l’OTAN et du GLA convergeait toute les deux sur ce point et c’était là que se déroulerait le choc des titans ou les 3 faction allait s’affronté. Le commandement avait dont décidé de créer une importante ligne de défense pour être certain de la victoire. Si l’OTAN ou le GLA devait sortire victorieuse, sa ouvrirait pour les force américano-européenne la vois directe du moyen orient et des réserve de pétrole russe qu’ils avait besoin pour maintenir en marche leur machine de guerre. Si c’était le GLA, l’Europe tout entière serait a leur porté et de plus, ils pourraient capturer l’armement nucléaire russe. D’un autre coté, si les russe gagnait, ils pourraient reprendre les territoire perdu et lancé une contre offensive sur c’est 2 adversaire, principalement sur l’Europe qui souffrirait de la perte de c’est dernière réserve majeur de pétrole pour cette attaque alors que les troupe du GLA présente sont la seul véritable armé de métier et il leur serait quasiment impossible de se reprendre après sa. Les troupe de l’OTAN qui arriverait de par l’Ouest était les plus redoutable, bien entraîner et équipé, ils devraient arrivé en force avec une bonne couverture aérienne. Malgré tout, leur commandement était encore divisé entre les intérêt de leur propre nation ce qui les laissait vulnérable en plus que les troupes était démoraliser par le fait qu’ils n’y ais pas eu de victoire dernièrement, les troupe russe battaient en retraite mais infligeait plus de dommages qu’ils n’en recevaient et de plus, la grande majorité de leur troupe était sortie de l’entraînement et n’avait pas la moindre expérience du combat. Pour ce qui était de la GLA, ils étaient bien entraîné mais ils ne disposait pas de bon armement et ils n’étaient pas dans leur élément dans les plaine boueuse entouré de foret en Russie. De sont coté, l’armé russe était imposante et bien que pas au temps que l’OTAN, elle avait de bon équipement et définitivement plus de nombre que quelconque des participent a la bataille et avait en plus la supériorité du terrain et de c’est fortification. Le principal objectif était de ne pas laisser l’OTAN avoir la supériorité aérienne et manipulé les force du GLA pour qu’elle s’acharne plus sur eu que sur nous.

Vernner était donc dans une jeep en direction du poste de commande avancé. Il était avec son aide de camp, le Major Youri Gagarine et le conducteur en direction de la ligne. La jeep n’ayant pas de toiture, ils criait pour communiquer tout en tenant une large carte pour l’empêcher de s’envolé.

Youri : Alors commandeur ?! Que se passe t’il ?!

Vernner : Nous allons sur le front, il y a des signe avant-coureur de la présence ennemie !

Youri : Comme quoi ?!

Vernner : On a reçu des obus de mortier léger a Moscou, ils doivent être près !

Youri : Vous plaisantez j’espère ! Sa voudrait dire qu’il ne sont qu’a une dizaine de kilomètre de la ligne !

Vernner : Je le sais bien ! Nous devons nous dépêcher de finir les préparatif avant leur arrivé, les radar on détecté que les obus venaient de l’ouest, ce sont donc ceux de l’OTAN. Pourvu que le GLA sois a l’heure car sinon sa va faire tout capoté.

Youri : QUOI ?!

Vernner : J’ai dit que sa va TOUT FAIRE CAPOTÉ !

Youri : Ok, les rapports satellite dise qu’ils ne sont qu’a environs 15 ou 20 kilomètre d’ici !

Ils arrivèrent a la ligne en fasse du centre de commandement, un bunker a demi enterrer dans la boue. Vernner sauta hors du véhicule et s’éclaboussa. Il baisa c’est yeux vers ses botes qui lui remontait au genoux, toute tacher de boue. Il portait des botes de cuire brun foncé lui allant au genoux en plus de gants de la même couleur avec un uniforme vert foncé décoré de médaille et d’étoile de général. Il mis sa petite casquette de général tout aussi décoré et son bâton de maréchal de Russie pour complété le tableau. Youri vain se placer a coté de lui et ils marchèrent jusqu’au PC. Les officier supérieur l’attendait a l’intérieur. En entrant dans la salle de briefing les officier des forces spécial qui le connaissait et l’admirait s’empressèrent a se levé et a le saluer vigoureusement, les autres de l’armé furent plus lent a réagir car il ne voyait en lui qu’un jeune homme extravagant, sortie des rangs de l’ennemie en temps qu’espion et qui ne devait pas avoir les talent nécessaire pour diriger cette armé, le Field maréchal Nikita Ivanovich Raikov, un homme assez vieux au cheveux blanc et a la peau ridé quant a lui ne se leva même pas. Vernner se tourna vers lui et le regarda de toute sa hauteur et lui dit avec une voix terriblement arrogante et un sourire qui l’était plus encore.

Vernner : Il est de coutume que de saluer son supérieur maréchal.

Raikov : Je sais, si je vois le président je n’y manquerait pas.

Vernner se pencha sur la table en direction du Maréchal.

Vernner : Je parle de moi même, JE suis le commandant ici, JE suis le commandant SUPRÊME des forces armés…

Raikov : Uniquement des force spécial, celui qui commande l’armé ici c’est moi.

Vernner se releva de toute sa hauteur et lui dit d’une voix méprisante.

Vernner : Ne jouer pas a ce petit jeu stupide, j’ai la supériorité sur vous. Je vous relève de se théâtre d’opération Maréchal, aller a Moscou et attenter un nouvel assignement.

Le Maréchal se releva et cria.

Raikov : Comment ose tu sale morveux ! Je commandait des armés alors même que tu pissais dans tes couches !

Vernner apparu sous le nez du maréchal comme l’éclaire et son bâton dans le visage du maréchal comme la foudre. Le maréchal fut propulsé par terre en gémissant.

Vernner : Insulte a un officier supérieur, cela vous coûtera chère maréchal…

Il fit signe au deux garde en avant de la porte.

Vernner : Soldats, jetez cette homme en prison, je m’en occuperais lorsque j’en aurait le temps.

Les 2 soldat traînèrent le maréchal a demi conscient a l’extérieur de la salle. Vernner se retourna en direction de l’état major de l’armé et les regarda avec un grand sourire. Les plus jeune avait été fortement impressionner alors que les plus ancien c’était renfrogner d’avantage.

Vernner : Bien messieurs, vous allez me dire ce que vous avez a me dire, suivez moi.

Vernner sortie avec sa cohorte d’officier et se mit a inspecter les défense et les troupes. Les ingénieurs n’avaient pas chômés, le complexe de défense central était une série de bunker en béton renforcer anti-artillerie. L’artillerie légère était disperser en plusieurs point tendit que la lourde était placé un peu plus derrière sens être trop éloigner pour risquer l’encerclement. Autour du complexe défensif principal se trouvait un dédale de trancher entourer de champs de barbelé et d’obstacle anti-tank. Les unité anti-aérienne avait eu aussi été déplacé en de nombreux petit casemate relier a 3 centre radar. Des unité anti-tank était disposé un peu partout et un champs de mine anti-véhicule avait été disposer derrière les barbelé et a l’intérieur tendit qu’un autre avait été mit en place entre les trancher et les bunker. Le poste de commandement était sur une petite colline découverte et on avait une très bonne vu sur tout le champs de bataille tout en étant protéger de l’artillerie. Au loin on pouvais voir des colonne de troupe russe qui battait en retraite en direction des fortification. Vernner était dans l’une des trancher sur le flanc de la colline et demanda a se que l’on lui passe des lunettes. Il regarda les énorme colonne d’homme et le blindé qui battaient en retraite.

Vernner : Non mais quelqu’un dite leur de s’écarté, ils vont se faire massacrer par l’artillerie !

Comme pour confirmer c’est dire, on entendit des sifflements aigu et des gerbe de terre et d’autre chose sortire a certain endroit des colonnes et du complexe défensif. Soudain il sentie quelque chose le propulser a terre et une détonation si forte que Vernner ne l’entendit presque pas. Il repris conscience quelque seconde plus tard , a quelque mètre plus loin et se dégagea du corps inerte de l’officier des force spécial qui l’avait plaquer a terre. Le tiers de sont état major était mort et quelque soldat du nie de mitrailleuse dans le qu’elle il était aussi. Il s’entendit a peine crier au soldat de reprendre la mitrailleuse et au survivant de l’état major de retourné a leurs postes. Il se prie une AK-105 de l’un des soldat mort et gravie la colline en direction du QG tout en donnant ordre, insulte et encouragement au soldat et officier qu’il croisait.

/HJ:Et bin voila, un bon petit RP a qui veux venir. J'encourage fortement Vassili a venir se mesurer a moi en temps que tacticien, a MJ pour faire le GLA et a qui conque veux participer a le faire./

désoler, non seulement je suis en manque d'imagination, en plus je n'ai pas beaucoup de temps pour aller sur le PC...

Bon, comme Vassili est mort, je poste.

Vernner arriva finalement au poste de commandement après avoir escalader la colline et parcouru prêt de la moitié du front. Youri et les autre officier était déjà a l’œuvre et transmettaient des directive sur tout le front. L’attaque avait été soudaine et les troupes dans le champs avait été malmener par l’artillerie mais ils avait réussie a trouver un chemin pour les tranchés. Le bombardement continuait a s’épuisé sur le front russe et il s’arrêta aussi soudainement qu’il avait commencé.

Vernner : Dites au troupe de se préparer a une attaque des force ennemie, préparer l’artillerie a faire feu et les avions a décollé pour luté pour la supériorité aérienne. Je veux un mouvement de blindés sur la droite a mon commandement et déplacé une partie des unités anti-char sur la gauche.

Il prie c’est jumelle et regarda en direction de la lisière de la foret. Après 20 seconde, les troupes ennemie n’arrivaient pas.

Vernner : Il sont où merde, ils viennent d’utiliser toute leur effet de surprise sur ce bombardement et… ils n’attaquent pas ?

Youri : Ils ont des problème de commandement, c’est vous même qui l’avez dit, l’artillerie et l’infanterie ne sont peu être pas coordonner.

Vernner : Je ne peu pas les croire stupide a se point.

Il continua a regarder et contre toute attente, il vit une ligne de blindé ennemie sortire. Il n’en croyait pas c’est yeux, sois c’était du courage ou sois de la stupidité. Attaquer comme sa lorsque l’on a plus aucun effet de surprise ou encore de couverture. En parlent de couverture… La au moins il y en avait, des F-18 américain sortire des nuage, certain était équiper en chasseur et d’autre en chasseur bombardier. Vernner sourie, le retard lui avait donner tout ce dont il avait besoin. Les batteries anti-aérienne étaient activent et prêtent a tirer depuis un bon moment déjà. Des volés de missiles et des rafale de mitrailleuse anti-aérienne de gros calibre partirent dans le ciel découvert.

Vernner : Dites au MIG de ramener leur derrière ici mais seulement la moitié des escadrons.

Youri : Et le mouvement de blindé ?

Vernner : Attendez un peu, cette vague va se faire anéantire par le champ de mine et nos mitrailleuse. Dite également a l’artillerie de garder les plus grosse pièce en stand-by, on va leur réservé une surprise a c’est américain.

L’attaque se poursuivie et comme Vernner l’avait prédit, a la moitié de la distance parcouru, l’ennemie battu en retraite avec la perte de plus des 2/3 des effectif.

Youri : Sa commence bien non ?

Vernner : Ce n’était qu’une feinte, un escadrons d’ingénieur destiner a estimer la profondeur du champs de mine et a en désamorcer le plus possible.

Youri : En marchant dessus ouais !

Vernner : Le vrai défit arrive. L’OTAN a encore beaucoup de punch en réserve. Notamment le fait que ce n’était qu’une partie des forces aérienne, eu aussi présente pour visualiser nos défense anti-aérienne. Ils on encore des bombardier et d’autre chasseur. J’ai d’ailleurs un mauvais pressentiment… que quelque escadrons se prépare a intercepté d’éventuel tentative de parachutage sur nos arrières. Donner l’ordre au avions encore a la base de décollé et de se diriger en vitesse économique de carburent sur notre position, équiper en chasseur. Oh et, donner l’ordre a la flotte de la mer noir et au homme a qui cette ordre s’adresse, d’exécuté l’opération Constantinople. Préparer également la flotte de la baltique, du pacifique et du pole nord de se préparer a tu sais quoi.

Youri eu un sourire malicieux, salua Vernner et sens alla prêt du téléphone rouge qui lui permettait d’avoir une ligne prioritaire partout en russie.